lundi 1 avril 2013

Les TIC en éducation


 
Dans un article assez actuel publié sur le site Infobourg, on nous informe sur le développement rapide des TIC qui rend de fiers services à la formation à distance. Cependant, il entraine aussi des défies et des limites.

Premièrement, le réseau d’enseignement francophone à distance du canada (REFAD) à confié à M. Jean Losier le mandat de relever un portrait des limites et des défis auxquels est confrontée la formation à distance au Canada francophone en 2013, tant au niveau secondaire, collégial et universitaire.
Deuxièmement, à l’aide des enquêtes réalisées auprès des intervenants de la FAD, il y a été présenté une synthèse des différentes modalités de prestation de formation à distance, qui encadrent les services offerts en FAD dans les diverses provinces canadiennes.
 Défis 
1.    Défis pédagogique qui en sont dépendants
2.    Défis aux clientèles très diversifiées
 Les limites
Dans le rapport, on rappelle qu’ «  au secondaire, les dispositions législatives provinciales ne permettent pas d’offrir des formations à distance aux populations d’âge scolaire, sauf exception pour les jeunes de 18 ans qui font un retour aux études, pour les handicapés ou les malades de longue durée, ou encore pour certains sportifs de haut niveau appelés à voyager pour leur entrainement ou pour leurs compétitions. »
On relève des recherches l’apport positif qu’aurait la FAD « pour résoudre les problèmes au secondaire « régulier » quant à la formation dans des domaines spécialisés en régions éloignées, dans les petites écoles et les milieux défavorisés. »
On parle de différentes instituions dans divers province qui ont beaucoup de succès avec la formation à distance qu’on appelle «  l’École virtuelle ».
On peut voir l’article sur l’Infobourg et pour en savoir davantage ICI.

1 commentaire:

  1. Dans l'article de l'Infobourg, on parle peu des défis ou des limites de la formation à distance. Il faut aller lire le rapport du REFAD, qui est long et complexe, si on veut en apprendre sur ces deux aspects.

    Dans ton billet, on reste un peu sur notre faim, comme dans l'article de l'Infobourg.

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